Warhammer 40000: Inquisitor - Martyr
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gamescom 2017 – Warhammer 40,000: Inquisitor – Martyr en Early Access

Un action-RPG dans l’univers de Warhammer 40000, ça ne peut être que bien ! Quand il s’avère qu’en plus cela ressemble à un hack and slash à la Diablo – alors que le titre de Blizzard n’est jamais mentionné dans la communication, ce qui est étrange, mais passons – c’est d’autant plus attirant. Et quand après trente minutes d’essai, vous voulez y retourner, c’est forcément bon signe.

Warhammer 40000: Inquisitor - Martyr

Warhammer 40,000: Inquisitor – Martyr se place dans le grand univers de Games Workshop, pas celui avec les Nains et les Orcs, celui avec de la testostérone et des soldats en armure de combat intégrale. Au CDXe siècle, l’univers est en guerre constante. L’humanité est assiégée et demande de l’aide aux Inquisiteurs, des agents secrets puissants dont le but est d’éradiquer le Chaos. Ces soldats prennent la forme de diverses unités dans le jeu, comme un Crusader ou un Assassin. Vous devrez envoyer votre agent aux quatre coins du système Caligari et ses sous-secteurs à la recherche de missions, d’indices (pour faire avancer la campagne) et de matériel pour défaire les grands ennemis.

Si je parlais de Diablo en ouverture, c’était pour vous donner une vague idée du gameplay d’Inquisitor – Martyr car cela y ressemble beaucoup sans pour autant le copier (c’était pour illustrer la façon à laquelle on joue ici) car on a plus le feeling d’un twin stick shooter qu’un hack and slash. L’action est rapide et violente mais sait aussi ajouter une dimension tactique avec un système de couverture et des pouvoirs. L’assassin Infiltrator qui privilégie l’attaque au corps à corps a par exemple un pouvoir de téléportation avec attaque rapide sur une cible, un second d’attaque de zone ainsi qu’une mine en troisième option. Le Heavy, quant à lui, est plus facile à jouer car équipé d’une armure monstrueuse et d’une puissance de feu hallucinante, aidé d’un shotgun badass et de grenades pour tout déchirer. Parcourir les cartes générées (toujours dans l’esprit de la planète visitée) est un réel plaisir car elles sont plutôt bien réussie et ont une vraie âme. Les deux environnements visités lors de la gamescom étaient vraiment différents et agréables avec une sorte d’usine ou un gros camp militaire extérieure très métallique. Ici les ennemis vous attaquent par vagues successives sans trop réfléchir (c’est ce qu’on souhaite dans ce genre de titre) mais les patterns d’attaque sont très intéressants. Je me souviens d’un type d’ennemis (désolé, je n’ai pas retenu et je ne connais pas assez le lore) tirant des rayons ensemble de toute part vous blessant et ralentissant sauvagement tandis que d’autres vous harcèlent au corps à corps.

Warhammer 40000: Inquisitor - Martyr

J’ai vraiment apprécié la demi-heure proposée par NeocoreGames à tel point que quand je me suis retourné au bout de trente minutes dans la zone de test, j’étais le seul de la présentation à être encore là, devant le PC à en demander plus. La bonne nouvelle est que Warhammer 40,000: Inquisitor – Martyr est déjà disponible sur Steam en Accès Anticipé et devrait proposer autant de contenu que ce qui était visible en Allemagne. Seul ou accompagné, vous pourrez voyager à travers Caligari dans plusieurs missions vous promettant des heures d’amusement. Attention cependant, Martyr étant un titre basé sur son histoire, seules les missions secondaires seront ouvertes à la coopération car les cartes principales seront plus ou moins scriptées pour faire avancer l’aventure. En plus de tout cela, NeocoreGames promet l’ajout de saisons ce contenu tous les un ou deux mois et cela gratuitement. Une saison contiendra de nouveaux équipements à collectionner, de nouveaux ennemis et une augmentation du niveau maximum pour vos personnages.

Martyr sortira définitivement au premier semestre 2018 et après cette belle surprise lors du salon allemand, toutes les promesses et les premiers avis positifs, on a vraiment envie de relancer le jeu. C’est en effet bon signe. Attention cependant, l’Early Access est à 50€ et malgré ses beaux airs, nous vous recommandons d’être prudent et patient. C’est plutôt paradoxal mais c’est un peu cher pour une version non terminée si tant est qu’elle soit réussie. Si jamais nous mettons la main sur cette version, nous vous dirons si vous pouvez foncer les yeux fermés ou pas car ce n’est pas une chouette présentation et 30 minutes qui suffisent à se faire un réel avis même si nous sommes bien hypés.

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Élevé à la sauce PlayStation, Thomas est un gamer touche à tout mais qui joue toujours à des anciens titres. Il partage cette passion depuis 2008 et est passé par toutes les cases, du blog à Dailymotion et même la radio pendant 4 ans. Il tente maintenant de faire découvrir ce milieu au plus grand nombre via TechArtGeek ou via des vidéos sur YouTube ou Twitch.

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